Conversations difficiles
Bien vous connaître est essentiel pour communiquer avec éloquence et clarté.
Les conversations difficiles demandent du courage pour exprimer vos perceptions et sentiments et permettre que les deux parties soient satisfaites de leurs échanges.
En premier lieu, deux questions critiques doivent être posées:
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Quel message je veux transmettre?
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Comment vais-je m’exprimer?
La majorité des conversations difficiles représentent un défi, car elles engendrent de la peur. Nos cœurs battent vite, nous ruminons ce qui pourrait arriver, et pouvons même créer une pensée dualiste (bon/mauvais). Les conversations difficiles tendent également à entraîner la procrastination et nous faire reporter notre dilemme à une période plus appropriée. (Deux précautions valent mieux qu’une.)
Vous sentez-vous confiant …?
Vous serez en mesure de mener une conversation difficile uniquement lorsque vous croirez en vous, et que vous jugerez que votre message sera suffisamment important pour être transmis. Certes, il y aura un risque, celui de montrer votre vulnérabilité et vos limites. Mais les grands bénéfices de cette conversation seront d’avoir eu le sentiment d’avoir été entendu, et d’avoir perçu le grand potentiel d’une relation de confiance.
Personne ne détient la vérité
Dans certaines situations, nous pensons avoir 100% raison, mais quelque temps plus tard nous réalisons que nous n’avions pas connaissance de tous les faits. Dans cette bande dessinée, l’employé dit « oui » alors qu’il est débordé. Si celui-ci avait posé des questions, il aurait obtenu plus de précisions sur la longueur du rapport, qui allait le consulter, si son utilisation allait être exclusivement personnel, etc.
Quelques conseils:
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Évoquez des faits (dates, personnes, tâches) lors de votre conversation et non vos opinions.
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Demandez à l’autre personne de répéter avec ses propres mots ce qu’elle a compris. « Je voudrais juste m’assurer que je me suis bien exprimé ici… »
Kathleen Sears – Coach de gestion (CRHA)
Kathleen coache les exécutifs et gestionnaires sur leurs leadership et habiletés en communication, le but étant que leurs équipes deviennent remarquablement productives en procurant des résultats de qualité.
Les exécutifs ont la liberté de travailler sur leur stratégie et non la ‘micro gestion’ de leurs équipes.